
Les clichés sur les développeurs
WebLes développeurs : entre mythes et légendes
1. Les développeurs sont tous des geeks introvertis
On imagine communément les développeurs planqués dans un coin sombre (la batcave), ne parlant qu’en binaire (ou en grognements) et faisant défiler des colonnes de chiffres vert fluo sur fond noir. Mais la vie, ce n’est pas Matrix, les développeurs web maîtrisent très bien d’autres langages… comme le sarcasme ! 😂
2. Ils ne font que coder toute la journée
Non, ils ne tapent pas frénétiquement sur leur clavier comme dans les films. Une bonne partie de leur journée est consacrée à fixer l’écran, en espérant que le bug s’autodétruise.
Oui mais ça marche sur mon poste !
Rédiger et traiter des cahiers des charges, faire de la veille, participer à des réunions interne ou avec des clients ou même animer des sessions de formation, sont autant de tâches qu’un développeur peut, selon la spécificité de son poste, être amené à réaliser.
3. Ils carburent au café ou aux boissons énergétiques
Certains consomment plus de caféine qu’un serveur ne consomme de RAM. Mais d’autres carburent à l’eau, au thé, voire au jus de fruits bio. La légende dit qu’il y a fort longtemps, un développeur privé de caféine a même réussi à livrer un projet en respectant l’estimation de son chef de projet. Ahurissant mais vrai ! 🙃
4. Ce sont tous des hommes
C’est faux, évidemment. Et les développeuses vous le prouveront avec un script bien ficelé. Dans leur IDE, il n’y a pas de place pour les stéréotypes, seulement pour du code propre et bien documenté.
5. Ils sont des génies des mathématiques
Certains n’ont pas solutionné d’équation depuis le lycée. Par contre, ils savent parfaitement optimiser une boucle avec un incrémentation « i++ » (ou une addition +1 pour les néophytes). Et puis, les vraies maths bien utiles, c’est quand il faut prévoir le nombre de pizzas pour une soirée et les découper en parts égales !
Notre Nicolas national s’est depuis auto-proclamé « Génie du bien ».
6. Ils savent tout réparer
Leur spécialité, c’est le code, pas le dépannage de votre ordinateur ou le déblocage de votre boîte mail. Demander ça à un développeur, c’est comme demander à un chef de réparer un grille-pain.
Alors non, au repas de noël, ne leur demandez plus de connecter le pilote de votre imprimante, merci pour eux ! 😙
7. Ils ne travaillent que la nuit
Ce ne sont pas TOUS des vampires. Certains préfèrent le silence nocturne pour coder (souvent des freelances, une espèce étrange), d’autres produisent leurs meilleures créations dès 9h après avoir déposé les kiddos à l’école.
8. Ils portent tous des sweat à capuche et des lunettes
Il est possible que vous trouviez un hoodie dans l’armoire de chacun d’eux. Mais vous seriez surpris de découvrir que certains portent des chemises (motif canard, juré !). Il y en a même qui s’habillent comme si leur vie était une réunion permanente. Quant aux lunettes, elles servent surtout à filtrer la lumière bleue des immenses écrans qu’ils fixent. Par contre la barbe en broussaille, ça c’est un true fact, pas de négo possible.
9. Ils n’ont pas de vie sociale
Evidemment qu’ils ont une vie sociale : à quoi pensez-vous que servent Slack, Discord, GitHub, Stack Overflow… Leurs conversations sont globales. Et oui, ils sortent parfois avec des amis dans la vraie vie.
« Bien sûr que ça se passe dans ta tête, mais pourquoi donc faudrait-il en conclure que ce n’est pas réel ? » Les vrais savent.
10. Ce sont des hackers en puissance
Dans les films, les développeurs piratent des serveurs en 3 lignes de commande.
En réalité, ils passent plus de temps à récupérer un mot de passe oublié ou à configurer leur environnement de travail après une mise à jour impromptue.
11. Ils sont paresseux mais efficaces
Les développeurs sont effectivement des maîtres de l’automatisation. Pourquoi faire une tâche en 10 minutes quand on peut passer 3 heures à écrire un script qui le fera automatiquement ? Efficacité garantie à la troisième itération.
12. Ils détestent les utilisateurs finaux
Ce n’est pas vraiment de la haine. On est plus sur un mix entre mépris et lassitude. C’est juste qu’ils préféreraient que les utilisateurs lisent les instructions ou la documentation… et qu’ils arrêtent d’utiliser Internet Explorer, Edge, tous ces trucs là…
13. Ils se moquent du design et n’ont pas besoin de communiquer avec les webdesigners
« Le design, c’est pour les faibles. » Faux ! Après tout, un bouton rouge fluo en Comic Sans ne convertira jamais aussi bien qu’un joli bouton bleu bien placé. Et oui, ils parlent avec les designers, mais en langage CSS car heureusement, les designers sous leur captivité se sont adaptés à leur alimentation.
Bonus : Ils ne savent pas écrire ou parler clairement
Leur langage préféré, c’est celui qui se compile. Mais croyez-le ou non, ils peuvent aussi expliquer leur travail en termes simples : « Ça ne marche pas, mais je sais pourquoi. »
Et une dernière pour la fin :
#titanic { float: none!important; } //#Blague de dev
On en parle ?
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